bakerstreet
11 septembre 2015 18:47
@Bernard Dugué
Vous confondez vos problèmes personnels avec ceux de la terre, aurait on envie de vous dire....Faites vous partie des climats sceptiques, ces types qui refusent de voir la vérité, ou plutôt d’admettre que l’eau passe par dessus leurs bottes....
« Non, nous n’avons pas les pieds mouillés ! »
L’immense majorité des scientifiques admet le réchauffement. C’est vrai aux states le courant négationniste existe, quoique de plus en plus minoritaire ! Là bas, on n’accepte pas non plus que les vérités intangibles de la bible soient remises en question, et bien sûr, le darwinisme, pour eux c’est de la connerie.
L’immense majorité des scientifiques admet le réchauffement. C’est vrai aux states le courant négationniste existe, quoique de plus en plus minoritaire ! Là bas, on n’accepte pas non plus que les vérités intangibles de la bible soient remises en question, et bien sûr, le darwinisme, pour eux c’est de la connerie.
Accepter de regarder la vérité en face, ça ne renforce pas la peur ambiante, une psychose infondée. Bien au contraire, la vérité donne une explication à nos peurs diffuses, à ce titre elle nous permet d’aller de l’avant, d’envisager des solutions, au lieu de rester pétrifier dans le mensonge et le déni. Car se que les animaux sentent, nous le ressentons tout de même un peu, malgré le filtre de notre intelligence qui a retiré plus d’un fusible.
Les animaux sentent l’arrivée d’un tsunami, et décampent, pendant que les touristes flânent, le nez en l’air. Nous sommes dans le déni des choses de la vie, et bien sûr par conséquent de la mort. Nous réagissons collectivement comme ces jeunes gens qui pensent qu’à la bataille joyeuse, ils passeront entre les balles, et seront même décorés, des héros.
Vous êtes l’expression de ce déni qui ne parvient même pas à être exact dans le système de défense que vous vous êtes choisi, car la simple physique à laquelle vous faite allusion est la première à nous condamner. Car rien de plus physique et compréhensible que l’effet de serre. N’importe quel quidam ayant défait la soupape d’une cocote minute dans sa cuisine est à même de comprendre le problème.
Carbone, méthane, tous ces gaz sont en masses colossales enfermés dans les sous sols gelés de la toundra sibérienne. Problème, actuellement, c’est justement cette région, où la montée des températures est la plus forte, sur une échelle de 30 ans...Personne ne sait quand ils vont être libérés, mais c’est de plus en plus préoccupant. Le 21 siècle sera peut être bien le dernier. Nous ne sommes plus dans la fantasmagorie de l’an 1000, dans la religion, mais dans la certitude que nous filons vers d’inéluctable, si nous ne faisons rien. 30 ans que j’entends dire : Nous avons 10 ans devant nous pour nous réveiller. Entre les robots qui risquent un jour de nous prendre le pouvoir, et l’urgence climatique, nous sommes maintenant entré dans la science fiction
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