Non.
C’est comme lorsqu’on coupe la tête à un canard ; il continue à marcher comme un dératé mais ce n’est que nerveux.
Quand Nietzsche a pris acte de la mort de Dieu, il a suggéré que le pire n’est pas cette mort mais sa conséquence : on ne peut croire en rien, tout ne peut plus être que mécanique absurde.
L’Homme est mort, voilà la réalité.