popov 3 octobre 2015 13:56

Penser que quelques décharges dans les neurones d’un mammifère vivant sur une planète située dans la banlieue d’une galaxie qui n’a rien de spécial pourrait anéantir un machin gros comme l’univers, c’est quand même un peu se prendre pour le nombril du monde.


Je propose aux auteurs de cette théorie de la publier dans une revue de théologie. Ils seront en bonne compagnie.

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