philouie 6 octobre 2015 18:48

Il est dommage de ne pas citer Girard, ni même Frazer.
Le sacrifice, où plutôt l’animal sacrifié, comme véhicule transportant les fautes hors de la cité.
la vision de la violence sacrificielle comme calmant à la souffrance intérieur.

Aujourd’hui tout se passe au journal de 20h. ce n’est pas pour rien qu’on appelle ça la messe du 20h.
Les images de la violence rende le cerveau disponible.
Comme les assassinats des Charlies ont permit de rendre mou le cerveaux des français.
Un loi de merde avalée sans que personne ne s’oppose. Charlie, ton sacrifice n’a pas été vain !
Valls est fier de toi !


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