Gilles Mérivac Gilles Mérivac 9 octobre 2015 15:33

Les manipulateurs qui ont monté de toutes pièces ce fait divers savaient très bien qu’il ne résisterait pas à un examen approfondi. Leur tactique était de jouer sur l’émotion brute pour faire passer la pilule de l’invasion qui se préparait. Le raisonnement vient toujours après le choc émotionnel, et il est beaucoup plus long à mettre en œuvre. Ils ont agi comme des publicitaires et ont joué sur du velours.
Maintenant, tout le monde paie les pots cassés.


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