@Rincevent
Merci pour votre lecture et votre commentaire.
Pour l’ancien et les passoires thermiques, c’est clair que la grange vendue au prix d’un palace, ça a fonctionné les belles années pour quelques uns mais maintenant c’est nettement plus compliqué, même en zones tendues.
Pour la qualité dans le neuf, c’est très variable. Il y a beaucoup de biens où les équipements et les matériaux sont « légers » mais certains sont tout à fait honnête. De plus, les normes font que même un logement d’entrée de gamme d’aujourd’hui bénéficie d’un confort et de prestations qu’une habitation de 20 ans ou plus n’offre pas.
Si on procède à l’analyse des biens d’un point de vue technique et que l’on arrête de calculer un prix de vente sur des rations financiers, la plupart des biens n’arriveraient pas à la moitié de leur valeur.
Les travaux ne sont pas à voir comme quelque chose d’insurmontable et d’éliminatoire dans un processus d’achat si le prix de vente du bien permet de réaliser la rénovation sereinement en payant au juste prix les entreprises. Le travail au noir et les travailleurs détachés cassent le marché et tout est tiré vers le bas.
Pour qu’une population vivent bien il est toujours préférable de tirer le plus de monde vers le haut.
Tant que les vendeurs peuvent tenir, l’édifice tient. Comme tous ne pourront pas avoir des charges sur le bien, à fonds perdus, ceux qui ne pourront plus payer vont vendre massivement et accélérer le mouvement !
Comptons sur nos politiques pour légiférer à court terme et alourdir encore la note des propriétaires pour faire en sorte que le mouvement baissier, massif et généralisé, se déclenche.
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