ddacoudre ddacoudre 21 octobre 2015 21:14

@Jason

pas tout à fait d’accord il n’y a pas de distribution de surplus dans l’industrialisation qui repose sur des matériaux non renouvelable. seule l’industrialisation de l’agriculture la rendu abondante au point qu’on la raréfie pour maintenir les prix du marché ce qui est immonde quand l’on sait que 8000 enfants meurent tous les jours de faim.
je ne compare pas la culture humaine aux comportements instinctif animalier dont la fonction est d’assurer la survie de son espèce, sans en avoir conscience, ce que reprend Adam Smith, l’homme concours au développement du groupe etc.
je dis en les mettant en parallèle que les humains, par la culture ont distordu la finalité de son espèce en la mettant dans la situation d’une possible extinction, et cela par le développent de l’organisation capitaliste qui ressemble comme deux goutte d’eau au paradigme originel ou chacun essaie de pérenniser son espèce par sa multiplication.
dans ce cadre je pourrais te développer l’utilité de la distorsion du capitalisme s’il n’aboutissait pas à un risque d’extinction. Un risque qui est acceptable si l’on se place du point de vue d’une fin de toute chose et son renouvellement, et donc considérer les distorsion du capitalisme comme un événement créateur d’une espèce en devenir nécessitant la métamorphose de la précédente.
l’humain nouveau a été estimé d’ici 80 000 ans. peut-être que le trans-humain en est son départ.
toujours est-il que si l’on compare l’évolution des éponge qui repose sur une erreur de transcription de son ARN, nous pouvons considérer que le capitalisme en distordant les comportement animalier originel fait de même.
j’espère que ma comparaisons avec les animaux te paraitra plus féconde.
ddacoudre.over-blog.com
cordialement.


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