PIPO 31 octobre 2015 14:17

Bonjour Philippe, merci pour vos deux derniers articles.
Les commentaires sous le précédent « lie to me (suite) » m’ont démoralisés, j’ai pensé à votre baisse d’optimisme (passagère ) et à la difficulté de faire prendre conscience de ces phénomènes pervers au différentes populations.

Juste une remarque concernant cet article, le paranoïaque n’est’ il pas un pervers accompli ?
Le pervers croit détenir le pouvoir sur les autres et ses difficultés à y parvenir par la résistance de certain, par le non sens de ses actes et les conséquences dramatiques le rendent forcement paranoïaque.
Il a besoin aussi de tordus (je préfère à pervers) pour mettre en ouvre ses plans pervers. et pour ne pas entaché son image « d’homme exceptionnel ».
Le point commun d’origine étant leur capacité à berner leur entourage et à la justifier par une pseudo supériorité tout en déniant leur manque d’empathie envers les autres.
On a là un cercle vicieux et un effet « boule de neige » oû le manque d’empathie engendre une capacité à berner, qui elle même engendre une pseudo supériorité ou « moi grandiose », qui elle même engendre un manque d’empathie etc...
Le plus « fou » c’est qu’il ne sont pas responsable de leur manque d’empathie et « leur apprendre c’est comme apprendre les couleurs à un daltonien » (j’avais bien aimé cette comparaison dans un de vos articles).
Ils sont juste uniquement préoccupés par eux mêmes comme l’est (l’était) leur(s) parent(s).

Le manque d’amour toujours et encore.

Mais vous savez déjà tous ça, j’avais juste envie de le l’écrire.

Merci encore.


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