C’est dingue le nombre de contradictions que l’on peut aligner quand on a besoin de diaboliser le capitalisme.
Juste un exemple : l’auteur « glorifie » ces sociétés où l’on fait de nombreux enfants.
Sait-il au moins l’auteur dans quel but on fait ces enfants ?
On les fait principalement pour fournir de la main-d’oeuvre gratuite ou de la chair à canons.
Aucune règle : les enfants travaillent au lieu d’aller à l’école.
Alors franchement, à ce compte-là je préfère nettement un capitalisme avec des régles que ces sociétés d’un autre age qui continuent à considérer les femmes comme des ventres !