Rien de tout ce qui se passe en ce moment n’aurait pu se faire sans la très grave trahison du parti communiste.

L’industrie électronucléaire française a été une création du CNR et les communistes de l’époque y ont pris une part active. Nombre de communistes éminents ont été à l’origine du Commissariat à l’Energie Atomique. Il s’agissait de favoriser l’indépendance défensive, donc diplomatique, et énergétique de la France.

Aujourd’hui, les lamentables traîtres qui se disent communistes sont devenus les cireurs de pompes des écolos, qui sont les pires agents du libéralisme débridé.

Je m’explique. La puissance financière a besoin de l’éolien et du photovoltaïque qui sont des mannes à retour sur investissement très rapide, d’autant plus que les bénéfices faramineux sont assurés par les taxes idéologiques genre CSPE. Non contents de s’être gorgés de fric sur le dos des peuples européens, ces vampires veulent maintenant s’attaquer à « l’électrification de l’Afrique », à coup de renouvelables bien subventionnées, bien sûr : un eldorado pour les gangsters de l’éolien.

Au contraire, l’industrie électronucléaire est un investissement sur le long terme de la nation, pour une durée de 50 à 60 ans, ce qui n’intéresse pas du tout les banquiers et les bruxellois.

Tout a été fait pour détruire cette industrie : les journalistes aux ordres de la désinformation, les partis politiques absents, les agences de l’état comme l’ASN et l’ADEME peuplées exclusivement d’écolos hystériques, les concours de la fonction publique comme celui des mines ouverts uniquement à ceux qui font profession d’être antinucléaires.

Mais ce n’est pas que la destruction du nucléaire français. C’est la destruction de toute notre industrie, et donc de la classe ouvrière, et de notre technologie, de notre agriculture, etc. La France doit devenir un pays de consommation multi-ethnique et multi-culturel, sans âme ni passé, et une plateforme touristique et financière. C’est la directive de Bruxelles. A la grande joie de vos amis écolos auxquels vous avez cru devoir vous allier par pur opportunisme politique.

Vous avez gagné : le peuple vous déteste autant qu’eux.

Alors, faire semblant de vous lamenter sur la privatisation des barrages, qui n’est qu’une des forfaitures de Bruxelles parmi tant d’autres, c’est tellement dérisoire !

Et puis, je ne comprends pas : votre nouveau chef, Mélenchon, est un bruxellois convaincu !