Philippe VERGNES 26 novembre 2015 14:08

@ gogoRat, bonjour,


Merci pour votre commentaire et l’attention portée à la lecture de cet article. (« Coquille » immédiatement corrigée sur mon blog.) smiley

Clin d’œil aussi à votre dénonciation de notre mascarade électorale, tel était également, dans le même registre, mon intention quant au bémol de la lutte contre le harcèlement, à savoir que nos dirigeants feraient mieux de donner l’exemple au lieu de rajouter de l’huile sur le feu dans tous les débats auxquels nous assistons.

Pour les symptômes, j’oserais une synthèse de quelques ouvrages références sur le sujet un jour prochain, mais pas pour l’heure. Cet article n’avait que pour but de poser quelques jalons pour ce projet de longue date (notamment sur les points que vous avez fort bien soulignez tant ils vont à l’encontre de nos préjugés).

Ce sera alors l’occasion de tenter de répondre à cette question de « savoir précisément de quoi le harcèlement est le symptôme ». (Je sais que vous connaissez déjà Christophe Dejours et son ouvrage référence Souffrance en France, mais depuis d’autres analyses hyper-intéressantes ont été publiées. La loi de modernisation sociale de 2002 ayant marqué une étape supplémentaire dans la prise de conscience de ce fléau.)
Par contre, votre interrogation conclusive sonne juste au regard de la situation de notre société actuelle. Et effectivement, cette question se pose bel et bien. Mais la problématique du harcèlement est vraiment très récente rapportée à l’échelle de notre société moderne. Aussi, ne peut-on pas encore trop juger de l’actuelle prise en compte des dommages que le harcèlement provoque. Et je précise : chez le harcelé... tout comme chez le(s) harceleur(s) (« les », lors du harcèlement en réseau ou en bande : « gang stalking »).

Bonne journée,

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