Philippe VERGNES 26 novembre 2015 23:27

@ bakerstreet,


Vous me donnez l’envie de poursuivre la lecture de cet auteur en gardant à l’esprit les précisions que vous y apportez. Je n’en fais toutefois pas une priorité, je travaillais sur une série d’articles concernant la ponérologie politique avant les événements de ce mois-ci... et depuis, je suis un peu en panne (non pas d’idées, mais plutôt « sidéré »).

« Mais c’est souvent ainsi, les écrivains sont de grands névrosés, qui mettent leurs terreurs à distance en les hystérisant tant qu’ils peuvent créer. Ne se rendant pas compte souvent du phénomène et de ce qu’ils révèlent dans un bel aveuglement. »


Oui... j’avais remarqué et mon intérêt pour Zweig était avant tout lié à l’amitié qu’il manifestait pour Freud. 

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