@eau-du-robinet.
Pratiquement rien de tout cela n’est lisible par les petites gens, « les masses » en phraséologie meuleu.
Asselineau est plus que réluctant à élaborer une politique intérieure, et je suis d’avis qu’il se trompe lourdement là. 65 % des français n’ont pas d’accès à la justice, ne peuvent faire valoir leurs droits : accès bien trop cher, et comment avoir assez de relations et assez de pognon pour que ton avocat ne t’escroque pas, ni ne te trahisse au profit des plus riches ?

L’UPR ne sait pas non plus faire le travail d’expression populaire que furent les Cahiers de doléances. Les cahiers de doléances, voilà une expression populaire révolutionnaire quoique sans violence, qu’on peut exploiter efficacement. Je n’ai pas dit que c’était tout cuit, juste que c’est possible, et certainement nécessaire.