GB 8 décembre 2015 22:56

La tarte à la crème des lobbies est une cuisine concoctée par les politiques et leurs entourages : journalistes, cinéma, publicistes, télévisions d’Etat et privée, tous les canards boiteux qui n’existeraient pas sans subventions, les sociétés d’Etat véritables gouffres financiers qui engloutissent des milliards en achetant des sociétés sans valeur (Areva) sans inquiéter les dirigeants. Les journalistes bien en cour payés à prix d’or pour des rapports qui finissent dans un tiroir. Les sociétés d’Etats où se transmettent les fromages aux enfants. La télévision a hérité de nombreux fils et filles de présentateurs.

Les lobbyistes sont appelés par les politiques pour payer leurs caprices onéreux. Alors ils inventent des caches pour masquer les financements : des ronds-points par exemple. Mais il n’y a pas que ça. Si la France est toujours au premier rang pour des manifestations internationales ce n’est pas que pour le prestige. Chaque événement permet de masquer des arrangements dans la masse monétaire, qui n’est par ailleurs pas exposée au contrôle du citoyen. Le parlement européen de Strasbourg, bâtisse inutile offre des postes à nombre de profiteurs

Pour les lobbies, les politiques sont plus un boulet qu’un avantage. Toutes les sommes misent à disposition  répercutées sur les produits nuisent à la compétitivité et à l’emploi. Quand ils disent ne pas savoir comment lutter contre le chômage, c’est une farce. Ils ne veulent rien lâcher, ils attendent le miracle hypothétique de la reprise. Et, si elle arrive, ça ne durera pas. Leurs appétits grandiront et tueront la poule aux œufs d’or.


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