Thierry SALADIN Thierry SALADIN 15 janvier 2016 21:21

@Martha

(suite et fin de ma réponse à,votre commentaire de 16H14)

Je poursuis votre propos, toujours en l’adaptant : 
 « L’Espéranto est une vraie langue accessible pour tous, mais ils ne le voient pas !!! => la propagande politique et les mensonges médiatiques leur ont bourré le mou et ça dure depuis 128 ans Pas de remise en cause : on ne sait rien sur l’espéranto, on en ignore tout, mais on a un avis, et donc cap sur « l’anglais  ». »

Martha, je ne me moque pas de vous. J’ai essaye de vous montrer que votre argumentation, votre étonnement, peut s’appliquer à d’autres sujets comme par exemple l’espéranto. 
Non seulement je parle couramment l’espéranto, mais je l’enseigne, diplômes à l’appui SVP !. J’ai de plus un diplôme de traducteur dans cette langue de et vers le français.

Et tout me porte à croire que FA, et probablement tout l’UPR en allant du bureau national jusqu’au simple militant, n’en sait pas plus sur l’espéranto que la plupart de mes lecteurs sur ce fil. C’est-à-dire rien. Mais tous ces gens-là ont un avis. Un avis basé sur l’ignorance de son ignorance. Probablement par effet Dunning-Kruger. 
Ainsi sont les hommes...

Je terminerai en disant que quelles que soient les réactions à ce commentaire, je n’y répondrai pas. Mon propos ici, c’est la campagne de la présidentielle de 2017. 
Mais je reviendrai sur cette politique linguistique et sur l’intérêt de l’espéranto dans ce monde globalisé et aussi pour nos enfants, dans un autre article. Un de ces quatre.
Comme disait Coluche : « Ce n’est pas parce qu’ils sont nombreux à avoir tort, qu’ils ont raison ».

Bonan vesperon.

Thierry Saladin 

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