La question du ’’qu’en sera-t-il demain ?’’ est sans fondement : ce ’’demain’’ que vous craignez se moquera bien de ce qu’on fait aujourd’hui.
C’est un comble, cette revendication de l’égalité devant la loi pour préserver un privilège ! S’il faut une égalité devant la loi, alors que les binationaux se défassent de leur nationalité surnuméraire.
@ Jérôme Henriques, Vous parliez de déchéance de rationalité ? Parlez pour vous.