@Raymond SAMUEL « s’attaquer à cette idée commode qu’il n’y a pas de vérité et que chacun fait comme il veut »
Pas facile non plus de ne pas tomber dans un « contrôle éducatif d’état », non ?
Il serait souhaitable, effectivement de développer l’information et de mieux financer l’ASE et la PJJ, mais le modèle actuel, basé sur une autonomie de l’autorité parentale sans contrôle à priori mais avec une détection à postériori des « problèmes » (quand même souvent dû à des carences parentale plus qu’à notre organisation sociétale) n’est pas non plus intrinsèquement malsain, comparé avec un contrôle absolu des familles par l’état, non ?