Onecinikiou 20 mars 2016 03:25
Les néconservateurs déclarent la guerre à mort contre Trump et ce qu’il incarne : la défense du petit prolétariat blanc contre les élites oligarchiques, dont Trump est paradoxalement une émanation mais pour mieux à présent s’en émanciper :

https://blancheurope.wordpress.com/2016/03/04/dechainement-de-tout-les-conservateurs-anti-blancs-contre-trump/

Kagan, figure de proue du mouvement néconservateur, fondateur du PNAC (Project for the New American Century, programme impérial théorisant l’hégémonie mondiale atlanto-sioniste) et maître à penser de Bush-fils lors de la seconde guerre d’Irak - équivalent de notre BHL « c’est bon pour Israël » concernant Sarközy et l’ingérence libyenne - appelant même à voter Clinton pour le faire battre :



Les allégeances et soutiens du Lobby sont donc parfaitement visibles, éclatants même. Tous les connards, tous sans exceptions, qui par ignorance, cynisme ou simplement bêtise crasse, soutiennent Clinton et les démocrates contre Trump, sont des imposteurs, des fauteurs de guerre et auront du sang sur les mains à l’avenir.

A toute fin utile, au-delà des patronymes, j’invite chacun à consulter les origines ethno-confessionnelles des personnalités néconservatrices les plus importantes et influentes, dont les propres fondateurs du mouvement né aux Etats-Unis : 


Leurs disciples en France : 


Tous sans exceptions sont des soutiens inconditionnels de l’Etat d’Israël et du sionisme colonisateur, authentique vestige de la véritable extrême-droite. Tous, à de très rares exceptions près (les éternels idiots utiles), sont des membres revendiqués de la Tribu d’Israël. Tous se sont prononcés pour les nombreuses guerres d’ingérences de l’Empire sous faux prétextes pseudo-humanitaires, dont la seconde guerre d’Irak, pourtant décriée quasi-partout en Occident et particulièrement en France.

En réalité on ne peut pas comprendre le néoconservatisme si on ne comprend par qu’il s’agit d’un mouvement fondamentalement juidéo-sioniste, et que l’on peut identifier comme une tentative, incontestablement réussie, du Lobby judéo-israélien et de ses agents de contraindre l’Amérique (en particulier à partir de 1967) à un alignement toujours plus poussé de sa politique étrangère et de sa diplomatie en faveur et dans l’intérêt exclusif d’Israël, et qui passait par la constitution d’un corpus idéologico-politique façonné par les élites communautaires.

Le soutien à l’Empire US, à sa puissance militaire et à ses ingérences géopolitiques, par ces mêmes élites communautaires (qui en ont été les instigateurs), s’expliquant pour l’essentiel par ce motif. Un phénomène qui s’explique sans doute par la sionisation progressive indubitable de tout un pan de l’intelligentsia juive diasporique, conçue elle-même comme une réaction face aux contradictions de plus en plus béantes et incontournables du colonialisme israélien - indissociable du sionisme - et dénoncé comme tel pour une part croissante d’individus et d’institutions conscients de la duperie et de la mystification.

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