On mesure en lisant
ces courriels, la suffisance des dirigeants US : La Russie n’est
jamais prise en compte à l’exception du droit de veto qu’elle
pourrait exercer au conseil de sécurité de l’ONU.
Or c’est son
intervention et l’étalage de sa supériorité militaire qui a fait
capoter le « Bachar doit partir » si cher à Fabius
lequel pour l’honneur de la France a heureusement disparu des
’’radars’’.