Hervé Hum Hervé Hum 12 avril 2016 09:28

@Jo.Di

Votre raisonnement n’a aucune cohérence !

Vous mélangez la cause et la conséquence. Affirmez une chose et son contraire.

Puis surtout, le moins tolérable, vous travestissez tout mon propos, comme celui de Marx. Mais ce dernier ne peut pas se défendre, alors, il vous est loisible de lui faire dire n’importe quoi.

Juste un exemple, parce que reprendre tout votre commentaire me saoule

Vous écrivez

Je ne crois pas, car votre conscientisation se base sur « l’intérêt de tous » ce qui veut dire l’individu en fait, ce qui veut dire l’homme naturel libéral. Moi je conscientise sur une Idée qui sert un Destin. D’une certaine façon à la Barrès « l’homme est un maillon mortel d’une chaîne immortelle », la nation pour Barrès, mais en fait il y a mieux, c’est un Esprit du Monde, qui à l’heure actuelle est évident.« 

 Vous niez obstinément ce que j’écris, c’est à dire, »l’intérêt général est la somme des utilités particulières à l’accomplissement de la volonté générale. Mais qu’elle est cette volonté générale  ?

Je l’écris à la fin, c’est le respect des autres formes de vie et des droits/devoirs intergénérationnels, soit, cette « chaine immortelle ». Soit, cette idée de destin, sans autre finalité que vivre et d’élever sa conscience. L’Univers n’a d’autre finalité, destin que lui même !

Vous aimez beaucoup la branlette, moi j’y ait renoncé. tout comme j’ai renoncé à l’idée du prophète porteur, incarnation de l’idée de la destinée du monde, se terminant avec lui, parce que j’ai renoncé à l’idée de chef pour guider l’homme. Vous, rien n’est moins sûr (cf, Poutine).

Si la chaine de vie est immortelle, ni vous, ni moi le sommes en tant qu’être physique. Au delà, chaque génération assume ce destin, mais ce ne sera plus vous en tant qu’homme, ce sera nos descendants. Et ils feront, selon l’état du monde dans lequel ils naissent et vivent.

Alors, l’intérêt général est l’expression de la conscience que les êtres (vivants) ont du monde et de ce qu’il veulent en faire. Et cela dépend de leur état de conscience lié à leur niveau de connaissance.

A l’heure actuelle, cela renvoi à ce que j’écris avec ces deux articles « pour changer de paradigme I » et « pour changer de paradigme II ». Bon, c’est plus élaboré que tout ce que vous avez pu apprendre sur le sujet, sans être pour autant exhaustif.

Dernier exemple

"Je me fous de la richesse des babouches léchées par le flan de l’hacienda des Séouds, vous non car il a volé par capital hérité, mais je ne me fous pas que la valeur d’usage des robinets en or de son yacht pour mon Idée soit nulle, vous si. Vous vous l’accepteriez si le Séoud avait donné assez de richesses matérielles à votre société ... moi pas ... moi j’accepterai que le Séoud soit riche si il roule en Traban et sert l’Idée ...« 

Vous persistez à ignorer ce que j’écris, car le capital en question (celui dont je parle depuis le début), ce n’est pas le bien matériel, c’est le temps de vie des êtres. Car j’ai bien écrit dans mes précédents commentaires que la richesse matérielle n’est rien seule, c’est l’exploitation du temps de vie des êtres qui est toute la richesse, car un yacht ne se construit pas tout seul et ne peut pas fonctionner tout seul. Sans serviteurs, même construit, le yacht est une charge aliénante pour son possesseur. De plus, Le séoud ne peut pas donner quelque chose qui ne lui appartient pas, pour l’avoir volé.

Enfin, savez vous ce qu’est au moins le destin dont vous parlez ?

Voilà, j’aimerai bien vous entendre là dessus, car je crains que d’avoir trop lu d’auteur, vous à constipé l’esprit.

C’est ce que j’expliquai à un ami, »un livre, c’est comme la nourriture, cela se mange, se digère et s’évacue en chiant, car sinon, on finit constipé".


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