Alain 30 mai 2016 15:44

L’autre jour et parce que ma femme est québécoise, on s’est amusé à regarder le parcours des plus « grands » politiciens canadiens et français.
1. Les canadiens à 80% ont fait un vrai travail, n’ont jamais plus de mandats électoraux dont un de très grande importance, et accèdent à de ces grandes fonctions beaucoup plus jeunes que les français. L’analyse à été faite sur les premiers ministres du Canada, de l’Alberta et du Québec.
2. Les français à 80% n’ont jamais travaillé et ont passé leur temps dans la fonction publique ou d’état (secrétaire d’état//bureaux divers et variées dans des commissions qui ne servent à rien sinon à pomper du fric), ils ont pléthore de mandats électoraux où ils n’ont jamais fait preuve d’une grande lucidité (maires, conseillers généraux, régionaux, députés....). Ils sont vieux et ne lachent jamais l’affaire. L’analyse a été faite sur des présidents et premiers ministres ou sur de futurs incapables à l’investiture présidentielle.

MORALITE ? Le Canada bouge, la France s’encroute. Ca saute aux yeux. Au Canada, qui voudrait d’un Juppé, d’un Fillon, d’un Montebourg ? Strictement personne. D’abord parce qu’ils sont usés et surtout parce qu’ils n’ont jamais réussi la moindre chose. Les seules vieux qu’on tolère au Canada sont ceux qui font preuve d’actions.
Suite aux affaires de Juppé, ce dernier a bien failli se faire arrêter aux USA et quand il a voulu enseigner au Québec, on lui a dit d’aller ailleurs. Ici, il apparait comme le sauveur de la droite. Cherchez l’erreur.


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