Gilles Mérivac Gilles Mérivac 16 juin 2016 14:03

L’auteur est trop gourmand, il veut traiter tous les problèmes à la fois, c’est le meilleur moyen de n’en traiter aucun. Le résultat est donc indigeste, et non convaincant car il n’y a pas de priorité.
La conclusion est donc un vague vœu pieux totalement inopérant et qui ne satisfera personne : « Reconstruire l’humanité sur la base d’une vraie fraternité universelle ».


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