L’auteur est trop gourmand, il veut traiter tous les problèmes à la fois, c’est le meilleur moyen de n’en traiter aucun. Le résultat est donc indigeste, et non convaincant car il n’y a pas de priorité.
La conclusion est donc un vague vœu pieux totalement inopérant et qui ne satisfera personne : « Reconstruire l’humanité sur la base d’une vraie fraternité universelle ».