À gimo,
Effectivement nous pourrions penser que les joueurs régulier au Loto et autres rêveurs se considèrent comme déjà confrères de ceux dont ils connaissent les vies intimes par cœur grâce aux journaux qui traînent dans la salle d’attente du docteur...
*
Si c’est vrai alors les pauvres sont vraiment cons. Mentalement il m’est impossible d’admettre que des gens puissent tomber si bas.