César Castique César Castique 15 juin 2016 15:31

«  Cette mer constitue l’une des plus éloquentes lignes de fracture entre le Nord opulent et le Sud dépendant. Pourtant, la Méditerranée n’est pas qu’une zone de tempêtes, elle demeure le berceau de quelques-unes des principales civilisations du monde ; elle reste une aire de métissage. Un lieu où il est encore possible de réinventer une économie de la convivialité. » 


Avec ou sans votre permission, je vous informe qu’en démocratie - fut-ce dans le tout petit peu qu’il en reste -, ce n’est ni à Morin, ni à Bergoglio, premier pape populiste de l’histoire, ni à Juncker ni à la Merkel, qu’appartient la décision. C’est aux peuples de choisir qui ils veulent, ou ne veulent pas, comme voisins de paliers.

Et, manifestement, ceux qui ne veulent pas du trèpe qui débarque de tous les pays foireux de la planète, sont majoritaires partout, c’est lors des élections qu’ils le font savoir. L’exemple autrichien est encore dans toutes les mémoires.

En outre, je tiens à signaler une « petite » information, dont la presse française n’a pas fait ses choux gras : en Italie, à fin mai, au terme d’un appel national du gouvernement en faveur de l’accueil de clandestins - qui continuent d’affluer par milliers chaque semaine -, 800 communes ont répondu favorablement, sur un total de 8’000 ! 

Aux dernières nouvelles, on en était à essayer de les appâter avec des sous.

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