Si la peine de mort n’avait pas été abolie, la solution existerait. Mais nous avons supprimé ce dernier rempart, pensant naïvement que notre démocratie et notre république ne pourraient plus jamais être menacés en temps de paix. Nous sommes bien contraints aujourd’hui d’imaginer des
réponses nouvelles pour faire face à ces cas que notre droit n’a pas
prévus, sans quoi notre société est dangereusement menacée.