egos 22 juin 2016 23:35

En filigrane se dessinent ... paradoxes et entropie.


A chaque étape d’organisation ou de progès correspond un degré d’entropie supérieur.
Vos chroniques éphémères imagent la cinématique engagée de ruptures successives.

La référence aux paradoxes tient d’une part à exploitation marchande mais rationnelle, structurée des utopies passées, dépouillant par voie de fait les disciples du partage et de la vie en communauté des qqes unes de leurs idoles.

Le tt précédé d’un souci de moyens et de qualité propre aux ratios en vigueur (retour sur capital opérationnel, qualité du service, moyens proportionnés cad colossaux, exploitation des acquis techno-scientifiques les + récents dont les sciences humaines appliquées aux activités cciales)

Un autre aspect paradoxal (en apparence uniquement) réside en la mutation du capitalisme (abandon des cycles journaliers, hebdo, lunaires) au bénéfice des processus continus : production, consommation ds 1 perspective d’amortissement et rentabilité du capital. 

Mutation accompagnée, nécessairement de la désuétude des formes convenues de la propriété,
laquelle est déjà en voie de socialisation, d’adoption de statut emphytéotique.

La(es) mobilité’s) devenue(s) dogme, l’imaginaire consumériste absorbent ttes formes de dissidence réduites parfois à des tentatives d’affirmation ou de différenciation.

Vs paraissez avoir échappé à la cage ou s’épuisent les écureuils.

Ne seriez vs pas, Montagnais, ds 1 vie parallèle, duelliste, 

adepte du fleuret ?








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