@ Chers contradicteurs

Une telle unanimité dans le déni est tout simplement admirable. Quel bonheur d’imaginer vos sourire béat devant l’icône dorée de Vladimir comme d’autres, devant celui, en or noir, de Georges W.

Les centaines de journalistes ou, plus souvent encore, les nombreux honnêtes hommes, assassinés ou disparus, qui n’avaient pas compris assez vite à qui ils avaient affaire seraient certainement surpris de vous lire.

Ainsi que les centaines d’opposants étasuniens assassinés ou emprisonnés, eux aussi sous des prétextes bidons.

Vous n’avez pas encore compris que ceux qui aspirent au pouvoir sont des dingues paranoïaques et mégalomanes, que beaucoup sont, en plus, des pervers narcissiques qui jouissent de leur puissance, débarrassé (enfin) de l’éthique encombrante du commun des mortels et des risques judiciaires.

Qu’on puisse être dupe et admirer de tels tordus me sidèrerait si j’étais né de la dernière pluie. Comme ce n’est pas le cas, je me contenterai de vous souhaiter à tous, chers contradicteurs, une bonne soirée.