@bourrico 7.
Plus grave encore, c’est d’indéfinition qu’il s’agit. Page 10 de
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Physique/Microphysique_contee.pdf
Citation :
Le vocabulaire employé aussi est fallacieux et égocentrique : la nature n’en a rien à foutre de nous tenir en quelque « incertitude » ; c’est d’indéfinition
qu’il s’agit : si un photon est très bien défini en fréquence, alors il
est très long, et c’est sa position qui est mal définie. Inversement,
s’il est court, alors c’est sa fréquence qui est plus étalée ; on le
savait déjà depuis un siècle, par Joseph Fourier.
L’astuce d’hypnotiseur pour faire croire aux gogos que c’est nouveau
(en 1927, avec donc un siècle de retard) et profond était d’être
négligent, égocentrique et fallacieux dans le vocabulaire : « Incertitude
» se rapporte à nous et à nos émotions. Alors que l’indéfinition en
dessous du quantum de Planck est une propriété intrinsèque à tout train
d’onde, fut-il individuel. C’est intrinsèque et impersonnel, donc vachement moins excitant, pas assez commercial…
La transformation de Fourier et son inverse (du signal à son spectre en
fréquence, ou du spectre au signal) sont expliquées plus loin, § 9.11.
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