@Auxi
« Toujours les choix sous forme de bâton merdeux... »
Ce n’était pas du tout mon intention. Ma question tendait à attirer l’attention de ceux - et ils sont très nombreux, je le sais d’expérience - qui oublient que la victime d’une erreur judiciaire condamné à de la détention passerait tout de même, des dizaines d’années derrière les barreaux, si elle n’était pas exécutée.
« ...tant qu’il y a de la vie, il y a de l’espoir. »
J’y ai pensé, évidemment. Mais après quinze ou vingt ans de placard, sans personne pour s’occuper encore sérieusement de votre cas, l’espoir confine à l’illusion, pour ne pas dire au fantasme. Et là, c’est le caractère de la personne, sa capacité à supporter plus longtemps l’enfermement, qui détermine son option.