Christian Labrune Christian Labrune 8 août 2016 00:16

@marceau2
J’approuve sans restriction votre propos. Au reste, je n’ai jamais parlé d’état « islamique », ce qui, par proximité avec le substantif « islamisme » donnerait à penser que ces excités se réfèrent à une version extrémiste et dévoyée de l’islam, mais toujours d’état « coranique ». Mossoul ou Raqqa, c’est l’islam pris au sérieux et à la lettre, et les grands attentats comme celui du Bataclan ont toujours été justifiés par une multitude de versets du Coran qui n’étaient nullement trafiqués. Aucun des deux autres monothéismes n’agirait ainsi et les Français musulmans, il y a trente ans, avant la prédication des Frères et des salafistes, avaient suffisamment de bon sens pour considérer leur religion avec une certaine distance : ils étaient à même d’en prendre, et aussi bien d’en laisser.
Si c’est Dieu qui parle dans le Coran, conformément à la croyance des esprits faibles - un dieu aussi barbare et inhumain que pouvaient l’être des hommes assez incultes du haut moyen-âge-, le texte ne peut absolument pas être amendé et encore moins expurgé de quantité d’incitations au meurtre. Partant, toute « déradicalisation » des exécutants qu’on a poussés au crime est parfaitement illusoire : on a affaire dans la plupart des cas à des crétins illettrés. Ceux qui tirent cyniquement les ficelles de la machine terroriste et qui peuvent, eux, être passés par les universités, ne se font pas exploser aux terrasses des cafés. Ils ont à peu près la même structure mentale que les nazis du IIIe Reich et sont tout aussi irrécupérables.
La première nécessité, la plus urgente, ce serait de dissoudre l’UOIF déjà interdite en Angleterre, en Egypte et même en Arabie saoudite.
Le musulman français des quartiers défavorisés ne devient pas spontanément un terroriste. Avant d’être un terroriste, il subit la terreur de l’endoctrinement et de la mise au pas ; il s’y habitue et ne s’en rend pas plus compte au bout d’un certain temps que les femmes obligées à porter le voile ou la burqa et qui finissent même par croire que c’est en toute liberté.
Il serait urgent aussi de refuser d’entendre le mensonge éhonté (takiya) des autorités auto-proclamées de l’islam lorsqu’elles essaient de faire croire à un public assez ignorant et qui n’a jamais ouvert le Coran que tout cela, comme disait encore naguère tel idiot utile de l’islam, locataire de l’Elysée, n’a « rien à voir avec l’islam ».

  


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