@Sigismond
J’ai un beau-frère qu’est comme ça : aussi étanche à la vérité qu’une montre sous-marine à l’eau salée. Ses élucubrations ne sont pas un discours construit et argumenté, mais un enchaînement de contre-vérités produisant une logorrhée automatique comme celle de Vladimir et Estragon dans « En attendant Godot » de Samuel Beckett.
Il faut les laisser délirer. Ils s’arrêtent tout seuls. Si vous essayez d’argumenter, ça revient à nourrir les trolls : ça les encourage.