Layly Victor Layly Victor 20 août 2016 20:46

@folamour

Ce phénomène de masse critique. Vous parlez de quoi exactement ?
Dire n’importe quoi, c’est à la mode, mais c’est quand même triste.

A Tchernobyl, je vous l’ai dit plus haut, ce qui a mis en danger les liquidateurs, c’est la combustion du graphite, et l’impossibilité de noyer le cœur comme ce fut fait à Fukushima par un pompage d’eau de mer, et ce sont les fragments de graphite contaminé qui étaient dangereux.

A Fukushima, le corium a été refroidi et s’est solidifié en fond de cuve ou sous la cuve, mais il n’y a pas eu de percement du béton (suivant les rapports de la NRC), parce qu’on a pu arroser en continu pendant le temps nécessaire.
Vous devez savoir que, suite à l’arrêt d’urgence d’un réacteur, la puissance résiduelle commence à décroître au bout de dix jours. C’est ce que je me suis dit quand j’ai vu l ’accident à la télé : « il faut qu’ils tiennent dix jours ». Ce qui fut fait.

Je sais que les écolos sont furax et amers de voir qu’après un accident aussi grave précédé par un séisme majeur et un tsunami majeur, il n’y ait pas eu de victimes dues au nucléaire (les victimes dues au séisme et au tsunami, ils s’en moquent). Alors, ils ressassent ces histoires de corium.
Faites vous plaisir entre vous.

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