Léger détail encore :
Le Soleil se couche. Plus rien au sol n’est plus illuminé, mais les altocumulus (admettons l’invariabilité des mots latins de la systématique météo) le sont encore. Puis seulement les cirrus.
Et dans l’ordre inverse au lever du Soleil.
Cela même un terrien qui ne s’est jamais éloigné de chez lui de plus de deux journées de marche peut le remarquer, avec ses sens à lui, sans aucun instrument.

Si en plus il habite au bord de la mer, avec à sa disposition des hauteurs ou une falaise, il peut encore sans aucun instrument faire des observations précieuses, sur le recul de l’horizon quand il monte, et le fort changement de perspective des voiliers au loin.

Evidemment, le journalisse qui écrit avec ses pieds et débat avec ce qu’il a entre les fesses, va encore crier qu’oser observer, c’est juste « une croyance », voire aussi débile qu’une religion.

Encore une observation accessible aux seuls sens non assistés, mais encore faut-il un moyen de pratiquer la navigation hauturière comme surent le faire les navigateurs du Pacifique et l’Océan Indien : longtemps avant d’apercevoir une île dans les alizées, vous voyez les nuages qui la surmontent.

Léger détail encore, vous allez plus Nord que le parallèle 66, disons plus Nord que le parallèle qui va de Nesøy à Rovaniemi, v’la qu’au 21 juin, le Soleil oublie de se coucher ! Il fait le tour par le Nord sans toucher l’eau !

Et voilà pourquoi votre Terre est plate !
Mais pas la mienne...

Bon, pour la géométrie de la trace au sol des éclipses de Soleil, j’vous raconte pas.
Sans parler de la géométrie sur la Lune de l’occultation par la Terre, lors des éclipses de Lune.

Quant aux trajectoires inertielles, anti-Coriolis, des masses d’air autour des anticyclones et des cyclones (la loi de Buys-Ballot), des masses océaniques comme le courant général anti-horaire en Méditerranée, c’est juste un complot de la NASA...