Dans son omniscience innée, l’enfant-roi ne s’est pas donné la peine d’étudier la structure psychosociale des sectes paranoïaques qui pourtant, à ce qu’il dit, le fascinent.

Or ça n’arrive pas par hasard, que des groupements se fassent sur la base de leur paranoïa commune, de leur ignorance crasse, de leur extrême méfiance envers les instruits, tous soupçonnés de les tromper par un affreux complot.

Ce n’est pas par hasard qu’un des stades de la régression collective des petits groupes soit le syndrome attaque-fuite, avec développements idéologiques éventuels s’ils en ont le temps, dans lequel ils se sélectionnent les leaders les plus paranoïaques, souvent d’authentiques cas psychiatriques.

Un cas fréquent, est qu’ils ont ensemble le désir de se venger de leur scolarité, où ils brillèrent par leur paresse et leur agressivité, furieux que l’école ne leur apprenne que des choses qu’ils ne savaient pas.