@Nicole Cheverney
j’ai simplement soulevé à titre de comparaison à côté de la lourdeur
symbolique du burkini, embleme de SOUMISSION DE LA FEMME QUI NE PEUT SE
BALADER LIBREMENT EN MAILLOT DE BAIN PARCE QUE CES MESSIEURS LES
SALAFISTES ONT DECIDE QUE DEUX JAMBES, UNE POITRINE ET DEUX BRAS NUS,
C’ETAIT INDECENT !!!
On peut être parfaitement d’accord avec ça, avec vous, sans pour autant dire que le Conseil d’État avait tort.
Il est lui-même coincé par des lois, que son avis ne pourrait contredire, qui ne lui permettent pas de dire quel MAILLOT est « agrée républicain » ou non, d’autant plus que des plages sont des espaces publics et non des établissements publics, ou lieux publics propriétés des communes. C’est une nuance juridique, mais d’importance, car elle est fondamentale.
On peut interdire définir des normes pour les maillots dans les piscines (interdire le burkini pour des raisons d’hygiène ou de risques pour la sécurité de la natation par exemple, comme les shorts de bain sont interdits) mais pas sur des plages de mer, de rivières ...
En fin de compte le Conseil d’État ne pouvait juridiquement approuver ces arrêtés municipaux anti-burkini pour des raisons constitutionnelles et se retrouvait impuissant à statuer sur la question car il n’est pas le législateur, qui par exemple a interdit le voile dans tel ou tel endroit, mais pas partout, comme dans les universités, dans les entreprises privées
Quelle autre réponse alors ? ...
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