"Au deuxième tour, si Marine Le Pen devait se retrouver face à l’actuel
chef de l’État socialiste,
elle le battrait très largement, à 54 %
contre 46%
mais elle serait battu par un candidat de droite en récoltant environ 40%."
C’ est exactement le rôle imparti à un troisième candidat dont la raison d’ être est de donner l’ apparence du choix à un électorat grugé du début à la fin.
Que ce soit le FN ou n’ importe quel autre parti parce que les dés sont pipés.
Les candidats à ce simulacre démocratique doivent certainement le savoir...ou alors c’ est lamentable.