►Gilles Mérivac
« si bien que les goûts de l’auteur paraissent arbitraires »
J’avoue que je suis de parti-pris et d’une extrême partialité. Je suis, sans doute comme beaucoup de téléspectateurs, las des séries que les chaînes nous fourguent à longueur de temps. D’où un sentiment de dégoût. On nous gave comme des oies – libre à nous, bien sûr, de refuser de regarder la télé. Mais dans ce cas, à quoi sert de payer une « redevance » ?