clostra 6 octobre 2016 10:55

@Taverne
mais oui ! CroMagnon pour votre démonstration est un abus (une erreur ?) de langage, car en effet son cerveau est quasi le nôtre, avec en particulier ce gros machin par devant.

Vous parlez de conscience (cum scientiam ? avec la science) : il connaissait beaucoup de choses que nous avons oubliées car nous ne saurions pas vivre, survivre dans les conditions où il a vécu et survécu. A contrario, nous avons développé la connaissance scientifique, et si notre support (brain support) est le même, nos déductions nous entraînent dans un monde beaucoup moins poétique que le sien ! et beaucoup moins respectueux.

Nous avons le même « milieu métaphore » - selon JD Vincent que CroMagnon, c’est-à-dire que notre « gros machin » comme dit également JD Vincent dans la Biologie des passions - nous permet d’imaginer (de délirer parfois, souvent), de nous extraire des conditions réelles dans lesquelles nous vivons, mais également de trouver des solutions pour la vie réelle.

Quant à la survie individuelle et la survie de l’espèce, qui pour nous est acquise pour l’une (quoi que), un cadeau et/ou un grand bonheur pour l’autre, étant donné les conditions de vie de cet ancêtre, il est vraisemblable que ce soit là et c’est bien ainsi, de la physiologie pure et dure car on observe ainsi les réactions aux différents niveaux de stress : le summum du stress amenant l’homme à désirer (?), à se reproduire ! (le repos du guerrier ?)

Et finalement, pour se sortir de tous les pièges qu’il a du rencontrer, il est certain que le premier homme exerçait beaucoup plus son intelligence (ses intelligences mentale-physique) que nous, bien qu’ayant le même cerveau, les mêmes circonvolutions frontales et autres délicatesses.


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