« je suis donc partisan du travail forcé » . . .
Il me semble que ça, ça s’appelle de la torture .
C’est bien vicieux et bien tordu comme concept.
Ce n’est pas une « réparation » mais une vengeance froide, longue et malsaine bien dissimulée sous des faux-semblants de grandeur d’âme et de hauteur de vue.