@Pomme de Reinette
Très beau en effet. Toujours cette veine particulière, ce phrasé inimitable avec une douce mélodie un peu bluesy. Des morceaux dont on ne sait si l’on doit chanter, rire ou pleurer. comme ce « dance me to the end of love » où souffle une empreinte à la fois tzigane, et indienne, sirupeuse et nonchalante... Peut être est ce la même chose. Un magicien, un prêtre, un exorciste. un frère. Je ne sais pas.