Robert Bibeau Robert Bibeau 23 octobre 2016 14:51
@Et hop !

Juste une petite remarque face à ce bel effort Vous écrivez ceci : « et qui ne trouve pas de contreparties en marchandises importées, ce qui revient à ne jamais être payé, donc à accumuler des créances douteuses. »

C’est faux En effet les banques ayant des succursales en Allemagne se retrouvent avec des masses d’euros ou de dollars en surplus suite au surplus commercial (oubliez le mot ALLEMAND puisque le système monétaire est maintenant européen mais en effet ce sont des usines situées en Allemagne qui reçoivent paiement pour leurs marchandises expédiées) mais cela ne revient pas à ne jamais être payé = au contraire = ces euros traites - dollars sont du vrai capital monétaire encaissé dans la succursale de la banque peut -être située à deux patés de maison de l’usine BASF

C’est après que le problème surgit QUE FAIRE DE CES MASSES DE VRAIS CAPITAUX MONNAIES RECUES PAR BASF a son compte bancaire à la Deutsche Bank ?

1) Dividendes pour les actionnaires rentiers tondeurs de coupons
2) Mais les actionnaires déjà millionnaires font quoi avec leur vrai dividende ??? Manger plus de homard ? Imposible ils en mouraient.
3) Investir cette vraie monnaie pour la VALORISER LA FAIRE FRUCTIFIER
4) Voila ou ça bloque BASF produit déjà des surplus et na aucun besoin de ce capital pour agrandir l’usine
5) La Deutsche Bank et la succursale de la MORGAN en Allemagne trouve un placement à faire dans des produits dérivés a très haut rendement
6) Les actionnaires faute d’autres occasions d’affaires donnent leur aval à ces achats sulfureux
7) Qui quand tout cela éclatera et l’heure approche voila ce que je tentais d’expliquer - va entrainer un krash boursier de la Deutsche vers les autres banques et atteindre BASF par ricochet

Merci de bien lire


 

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