abcd 6 novembre 2016 11:49

@Raphael à l’inverse un avenir sans énergie c’est un retour à des sources agraires pour le textile, l’alimentation et une partie du chauffage, vous préférez transporter des légumes frais jusqu’à Lyon pour les conserver ou maintenir des petites villes avec une conserverie et transporter des conserves jusqu’à Lyon, vous préférez qu’on transporte des arbres ou maintenir un hameau avec une scierie et acheminer des planches tout en produisant des granulés de bois pour le voisinage.
En campagne la piscine c’est la rivière, l’étang ou le plan d’eau du coin, on peut vivre sans être allé à Bercy un monde avec peu d’énergie, mais avec de la technique, on connait c’est le XIXème, y à déjà de l’exode rural, mais y à des trams, des vélos, des chevaux, transporter des biens partiellement transformés c’est plus efficace que de tout centraliser, je sais bien qu’on vend un avenir sans travail, mais c’est juste le travail bureaucratique qui va disparaitre (alors que c’était socialement un travail valorisant, secrétaire c’était mieux qu’ouvrière), concentrer la main d’œuvre là où on en aura le moins besoin c’est pas si pertinent.


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