L’inquiétude du Cardinal Sarah est totalement justifiée. Mais il
doit se demander pourquoi ce n’est
pas son Dieu ni ses adeptes qui vont "déterminer
l’économie, la politique, les relations humaines« si rien ne change
fondamentalement dans son église.
Le Dieu "présent dans
notre monde" est toujours présenté par cette église comme étant celui
qui, à l’époque de l’Ancien Testament, a appelé à l’extermination de peuples
entiers « pour de bonnes raisons »
qu’il faut savoir « bien interpréter » en sachant "bien lire les
textes religieux sacralisés".
Depuis 14 siècles l’islam envahisseur présente son propre Dieu de la
même manière, en ajoutant seulement ce « détail » : Contrairement à celui
de Jésus de Nazareth notre Dieu Allah, le seul vrai, affirme qu’il faut toujours tuer ceux qui ne le
suivent pas et que ce sera toujours vrai tant que le monde entier ne lui
sera pas soumis. .../...