egos 19 novembre 2016 10:33

@ddacoudre


Tout est dans tout et nos défauts ne sont jamais qu’une exagération de nos qualités (caractères) 
cad une forme de faiblesse.
Le mépris affiché délibérément peut s’exprimer de manières très diverses ie abus d’autorité (qu’ils viennent d’un cadre « mercenaire » du privé, d’un agent administratif ou d’une personnalité politique).
L’éducation, la maitrise des relations sociales (intelligence sociale en langage codé), la distance sociale (cloisonnement des classes et hiérarchies) constituent la parade éprouvée aux conflits qui résulteraient d’un clivage direct et brutal.
Du moins au sein d’une société comme la nôtre marquée par son histoire et sa culture.
Il en va différemment aux USA (le cadre UK reste fondamentalement élitiste) ou les relations sont plus décomplexée (ie usage du you) hormis Hillary et ses « pitoyables » (le diable se cache ds les détails)
Le mépris s’affiche ds les relations de proximité : familiales, amicales, sous couches sociales très proches économiquement, nations frontalières ou empire vs colonies (le mépris prend là la forme de racisme), 
dans son expression atténuée il adopte le discours de la condescendance.
Bien entendu, cette approche admet ttes les les déclinaisons possibles, cependant un statut élevé dans la hiérarchie sociale impose certaines figures : na pas afficher ses sentiments, garder le contrôle de son image et réactions, éviter de créer des freins ou de l’hostilité.
Certaines formations ou organisations stimulent ce sentiment de supériorité (top des grandes écoles ie St Cyr, X, ENA, mède) sans que l’on puisse attribuer ce trait de comportement à tous les diplômés, les corporatismes apportent leur part au « mépris » ou de morgue.
La référence à l’égo ne s’inscrit-elle pas trop dans la notion d’individualisme, moteur de l’économie marchande (principe de différenciation) le terme lui même se serait il pas qu’un mot valise à l’égal de populisme, beaufs, immigrés, assistés ... polyvalent, s’attachant purement aux aspects formels qd les comportements (a)sociaux sont stimulés à dessein ?
Le perception fondée ou non de mépris, ressentie, n’appelle-t-elle pas des réflexes de compensation ?
Croyez ou nom au mépris qui est l’apanage des imbéciles (qqs exemples Tapie, Mitterrand, Copé, Fillon, Grattaz, DCB ...) et pas tjrs nécessairement celui de vos ennemis les plus habiles.


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