« Nous sommes tous sur cette planète bleue et les diffèrences nationalistes n’ont plus de sens. Nous appartenons à la grande famille humaine. »
Le dalaÏ-lama, chef spirituel des bouddhistes tibétains, le 14 septembre 2016 à Paris
Le défi majeur de notre époque, c’est de passer d’un monde divisé en un monde uni.
C’est un changement de Paragdime.
»En effet combien sont en vérité pathétiques les
efforts de ces dirigeants d’institutions humaines qui, avec la plus
profonde méconnaissance de l’esprit de leur époque, s’efforcent
d’adapter des méthodes nationale - appropriées au temps passé, lorsque
la vie des nations était autonome , à un moment qui doit ou réaliser
l’unité du monde , ou périr. »
Nous servirons en effet mieux notre pays si nous nous efforçons, en notre qualité de citoyen du monde, de favoriser l’application définitive du principe fédéraliste , aux relations existant à l’heure présente entre les peuples et nation du monde
»
L’unification de l’humanité tout entière est le signe du stade qu’approche à présent la société humaine. L’unité de la famille, celle de la tribu, de la cité, de la nation ont été successivement tentées et pleinement établies.L’unité du monde est maintenant le but que s’efforce d’atteindre une humanité harassée. L’édification des nations a pris fin. L’anarchie inhérente à la souveraineté de l’Etat va vers son point culminant.
Un monde qui progresse vers sa maturité doit abandonner ce fétiche, il doit reconnaître l’unité et la totalité organique des relations humaines, et établir une fois pour toutes le mécanisme qui incarne le mieux ce principe fondamental de son existence.
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe