Alpo47 Alpo47 10 décembre 2016 12:54

@Jeussey de Sourcesûre

Ce n’est pas du tout cela. Ces méthodes font appel aux techniques cognitives ou comportementales , notamment les « thérapies brèves », pour aider l’autiste à sortir de sa bulle. Et elles ont un bon taux de réussite.

Pour le reste et répondre aux questions de l’auteur du texte, pourquoi ... Peut être, je dis bien peut être que certains législateurs se sont aperçu ce que tout le corps médical sait depuis longtemps, c’est à dire que la psychanalyse n’a AUCUN résultat, notamment avec une personne « autiste ».
Alors, peut être (encore) qu’à un moment donné quelqu’un doit bien se poser la question « Est ce que ça fonctionne », et lorsque le constat est certain que la réponse est non, décider en conséquence.

Il n’y a plus guère qu’en France que la psychanalyse connait encore un peu d’engouement, mode de la « rive gauche » parisienne, où il est de bon ton de glisser dans la conversation que l’on a un « psy », phénomène sectaire qui voit une bonne partie de ceux qui ont SUBI une psychanalyse en défendre la pratique -difficile de reconnaitre que l’on s’est fait abuser) ... etc ... Il reste donc encore quelques défenseurs de cette pratique.

Mais je répète, il faut ignorer le charabia semi-ésotérique de la psychanalyse pour se poser la seule vraie question :: la psychanalyse, quels résultats, quels changements positifs pour le patient ? Et là, malheureusement la réponse est ... AUCUN ;

Maintenant, ceux qui ont de l’argent à dépenser inutilement, peuvent bien continuer à se faire « psychanalyser ». Il faut juste qu’ils soient informés avant d’entreprendre leur « parcours ».


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