Le pouvoir politique s’est cru malin en organisant ce procès. Mais cette parodie, « coupable mais pas responsable » ne fait que catalysé la colère, et est justement révélateur de la grande entente matoise et canaille qui est à l’origine de l’affaire Tapie.

 On peut parler de « pompiers pyromanes »

En parallèle, évidemment il est facile de montrer que les plateaux de la justice ne sont même plus déséquilibrés, mais résident dans un espace temps différent.

 La pauvre Catherine sauvage sert de bouc émissaire et de démonstration de force à une justice qui veut montrer qu’elle ne s’en fait pas compter par le pouvoir politique, ni par le peuple, et se raidit, fait un exemple.