Olivier Perriet Olivier Perriet 3 janvier 2017 09:19

@ tous
je ne fais pas que râler, je constate.

Ce n’est pas ce qui s’est passé en décembre 2016 qui va dans le sens de vos hypothèses, c’est ce qui s’est passé depuis 2011 et ce qui se passera en 2017 qui validera (ou pas) vos délires de groupies.

Assad fils laisse un pays qui a perdu la main au Liban, qui a implosé de l’intérieur et s’est fracturé en 4 (ou 3 selon qu’on fasse la nuance ou pas entre extrémistes modérés ou extrémistes), alors que sous son père la Syrie était « la Prusse du Moyen Orient ». Quel brillant résultat.

En plus on ne peut même pas dire que, comme l’Irak de Saddam Hussein, le pays a implosé après 3 conflits étrangers directs et massifs.

Quel bon bilan, je me demande ce qu’on dirait si en France on avait des dirigeants qui affichent le dixième de se résultat pitoyable ; pour moins que ça, Sarkozy et Hollande se sont retirés. À croire que vous aimez les baltringues.

Assad a autant de poids politique maintenant que les dirigeants ukrainiens faillis qui se mettent dans la roue de l’UE ou les prézidents des républiques croupions pro russes.


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