Les promoteurs de la Première
Croisade, Pierre l’Ermite et Urbain II - moine de Cluny devenu Pape, étaient
d’excellents chrétiens ; nous connaissons la suite puisque nous en vivons
encore les ondes de chocs.
Comme tout chrétien affirmé, M
Fillon préfère la notion de patronage - le don individuel aux pauvres, les
siens, - plutôt que l’organisation d’un système d’assistance d’intérêt général.
Ce n’est qu’un homme de la
bourgeoisie du XIXe siècle – archétype du personnage balzacien, fils de notaire
milliardaire et châtelain condescendant, vêtu de costumes taillés sur-mesure facturés six mille euros* voire plus.
(*si j’en crois le magazine
féminin ELLE).