car c’est bien dans le travail de contre-information et de
ré-information que l’on court tous les dangers et non dans la critique
des médias dominants. : l’auteur se méprend sur l’objectif d’acrimed.
La contre-information, la ré-information, il y en a un peu partout, pour des sites du genre The Intercept ou Off-guardian (pour contrer l’enfumage du Guardian) par exemple. Si on pense se ré-informer et si on se fait avoir avec les mêmes ficelles d’enfumage, cela ne change strictement rien.
Et puis aussi, acrimed n’a pas les moyens matériels de faire de la contre-information/ré-information car les membres sont des bénévoles qui font ce qu’ils font en plus de leur travail.